lundi 28 décembre 2009

28/12/2009 - Projet de réhabilitation du Chemin de fer djibouto-éthiopien : Rencontre entre ministres des deux pays


Le ministre des Finances, Ali Farah Assoweh, celui de l’Équipement et des Transports, Ali Hassan Bahdon, ainsi que le ministre éthiopien des Finances et du Développement économique, Ahmed Shide, ont tenu aujourd’hui à Djibouti une réunion élargie aux experts des deux pays, sur le projet de réhabilitation de la ligne du Chemin de fer djibouto-éthiopien.Cette rencontre qui s’est déroulée au ministère des Finances, fait suite à une précédente réunion entre les deux parties sur ce sujet à Addis-Abeba le 6 décembre dernier.Les deux parties ont fait à cette occasion un large tour d’horizon sur le projet de réhabilitation de la ligne du Chemin de fer, ainsi que les voies et moyens de la redynamiser.Cette réunion répond au souci des autorités Djiboutiennes de renforcer les échanges commerciaux et le transport de marchandises et des personnes entre les deux pays, en privilégiant des modes de transport complémentaires de la route.La réhabilitation de la voie ferroviaire financée par l'Union Européenne à hauteur de 50 millions d'Euros, devrait permettre le replacement de 114 Km de rail de 20 Kg et de 9 ponts métalliques, ainsi que le renforcement de 40 autres ponts.Les discussions d’aujourd’hui ont été axées sur les solutions à apporter aux contraintes actuelles dans la mise en œuvre du projet de réhabilitation et des importants retards constatés dans l’exécution des travaux. Ces retards avaient eu, rappelons-le, des répercussions néfastes sur le trafic normal du Chemin de fer en septembre 2009.Les travaux de réhabilitation avaient également fait l'objet d’une suspension de la part des autorités éthiopiennes, suite à la demande du contractant d’une extension de délai de 18 mois, ainsi que d’une requête pour un financement complémentaire de 27 millions d'Euros. Les deux parties qui ont réaffirmé leur volonté de mener à son terme le processus de réhabilitation de la voie ferrée entre les deux pays, ont décidé de maintenir leur dialogue et de se retrouver pour une nouvelle réunion dans le courant de l’année 2010.

jeudi 24 décembre 2009

Le Sénat approuve la réforme de l'assurance-maladie


Mesure phare du programme de Barack Obama, la réforme de la couverture maladie américaine vient d'être adoptée au Sénat par 60 voix contre 39. Le texte devra être ensuite fusionné avec celui voté par la Chambre des représentants


UNE GRANDE NOUVELLE AVANT PARTIR EN VACANCE

ANLYSE DUréforme

Les sénateurs américains sont à pied d'oeuvre ce week-end au Capitole pour poursuivre leurs débats sur la réforme de la couverture santé, et le président Barack Obama leur rendra visite dimanche pour encourager les démocrates à adopter la réforme.
La réforme du système de couverture santé visant à rendre l'assurance santé accessible aux quelque 36 millions d'Américains qui n'en ont pas, est une des grandes priorités de Barack Obama.
Le chef de la majorité démocrate, Harry Reid, a décidé de poursuivre les débats pendant le week-end dans l'espoir de parvenir à un vote sur le texte avant la fin de l'année.
Le président se rendra au Capitole dimanche après-midi à 14H00 (19H00 GMT) pour assister à la réunion, à huis-clos du groupe démocrate, a-t-on appris auprès de la Maison Blanche.
Lundi, après des mois de discussions en commission et de négociations informelles, les sénateurs ont entamé pour la première fois les débats en séance plénière. Ils ont effectué leurs premiers votes sur des amendements cette semaine.
M. Reid a besoin de 60 voix sur 100 pour faire adopter le projet de loi.
Or, sur les 58 sénateurs démocrates et les deux indépendants qui composent la majorité, une poignée se dit opposée à un système public d'assurance santé, qui serait mis en concurrence dans le plan de réforme avec les assurances privées.
Le président Obama essaiera d'aider la majorité à trouver un compromis pour obtenir le soutien des sénateurs hésitants : les démocrates Mary Landrieu, Blanche Lincoln, Ben Nelson et leur collègue indépendant Joe Lieberman.
Outre son opposition à une "option publique", M. Nelson réclame également des dispositions pour empêcher l'utilisation de fonds publics pour l'avortement.
La Chambre des représentants a déjà approuvé le 7 novembre dernier sa version du projet de loi de réforme de la couverture santé.

dimanche 20 décembre 2009

Climat: des ambitions réduites et pas de contraintes


L'Accord de Copenhague permet pour la première fois d'enrôler l'ensemble des grands pays pollueurs, industrialisés et émergents, dans la lutte contre le changement climatique mais sur des ambitions réduites et sans cadre contraignant.
Voici les principaux points de cet accord:
OBJECTIFS:
- La hausse de la température moyenne de la planète devra être contenue en-dessous de 2°C par rapport aux niveaux pré-industriels (1800). Mais cette disposition n'est assortie d'aucune garantie: l'accord ne mentionne pas en effet la division par deux des émissions polluantes d'ici 2050 ni de date à laquelle celles-ci devront cesser d'augmenter.
- D'ici au 31 janvier, les pays industrialisés devront communiquer leurs objectifs de réduction d'émissions de gaz à effet de serre à horizon 2020 et les pays en développement devront annoncer les actions qu'ils comptent mettre en oeuvre pour atténuer les leurs. Aucun objectif chiffré n'est inscrit dans le texte.
VERIFICATION:
- Les engagements des pays industrialisés devront être "mesurables, notifiables et vérifiables" (règles MRV), afin d'en contrôler la réalité.
- Les pays en développement communiqueront eux-mêmes, tous les deux ans, les informations sur leurs politiques nationales, en offrant les éléments ouvrant à des "consultations et analyses internationales", dans le "respect de leur souveraineté nationale" (concession à la Chine).
Seules les mesures bénéficiant d'un soutien international, financier ou technologique, seront soumises aux règles MRV.
Ce point a constitué l'un des plus durs de la négociation.
FINANCEMENT:
- Une aide immédiate de 30 mds de dollars sur trois ans (2010-2012) doit soutenir l'adaptation des pays en développement aux impacts du réchauffement: elle sera allouée "prioritairement" aux plus vulnérables, notamment en Afrique et dans les petites îles.
- De 2013 à 2020, les pays développés s'engagent à mobiliser progressivement jusqu'à 100 mds de dollars: ces fonds proviendront "de sources variées, publiques et privées, bilatérales et multilatérales, y compris de financements innovants" - sans évoquer à ce stade de taxe particulière.
- Création du "Fonds Vert Climat" de Copenhague pour soutenir les projets des pays en développement visant à réduire leurs émissions, comme la protection des forêts et la lutte contre la déforestation, l'adaptation, le renforcement des capacités et le transfert de technologies.
CONTRAINTE JURIDIQUE:
- Le "fantôme" de Copenhague: la prochaine conférence de Mexico, fin 2010, ne verra sans doute pas l'adoption d'un nouveau traité contraignant. Le protocole de Kyoto reste donc le seul instrument légal contre le réchauffement, mais ne concerne qu'un tiers à peine des émissions mondiales.

jeudi 17 décembre 2009

La 20e édition d'Africolor bat son plein

par tous les groupes (Badume’s Band, Bruit du [sign], Tigre des Platanes) embrasés par la danse hallucinée d’un Melaku Belay au sommet de son art, retour au cœur du programme d’africolor avec la musique de l’empire mandingue.
Il y a vingt ans, c’est par l’intermédiaire de la communauté malienne installée autour de Saint-Denis que j’ai compris que je programmais un festival d’un type un peu spécial. Le 22 décembre 1989, quand Nahawa Doumbia débarquait à l’aéroport et qu’elle demandait des pièces de monnaie pour pouvoir téléphoner, on ne s’attendait pas à voir le théâtre Gérard Philipe plein à craquer du public malien pour le soir de Noël. Cette communauté, et la relation qu’elle entretient avec les artistes, m’ont fait comprendre comment mener africolor sur toute la Seine-Saint-Denis.

mercredi 16 décembre 2009

La présidente de la conférence sur le climat, Connie Hedegaard, démissionne

La ministre danoise invoque des raisons protocolaires. Les pays en voie de développement l'avaient toutefois fortement critiquée. Le Premier ministre danois la remplace à son poste.
AFP - Le Premier ministre danois Lars Loekke Rasmussen a pris mercredi la présidence de la conférence climat de l'ONU à Copenhague en remplacement de Connie Hedegaard, chargée des consultations informelles pour boucler l'accord contre le réchauffement.Le Premier ministre danois Lars Loekke Rasmussen a pris mercredi la présidence de la conférence climat de l'ONU à Copenhague en remplacement de Connie Hedegaard, chargée des consultations informelles pour boucler l'accord contre le réchauffement.
Cette disposition technique a été annoncée en séance plénière par le secrétaire
exécutif de la Convention de l'ONU sur les changements climatiques, Yvo de Boer.Les chefs d'Etat ou de gouvernement prennent couramment la main dans les dernières heures des conférences.
Mme Hedegaard, qui va désormais se consacrer exclusivement aux consultations informelles des ministres pour aboutir à un accord, vendredi, a cependant été plusieurs fois vivement critiquée pour son mode de gestion des travaux, notamment par les pays en développement.
Ceux-ci lui ont reproché notamment un "manque de transparence" pour avoir organisé dès le week-end dernier des réunions ministérielles restreintes alors que la plupart des ministres n'étaient pas encore arrivés.
"On assiste à un télescopage entre l'envie de la présidente d'avancer et le rythme très formel de l'ONU. Les pays en développement craignant toujours le coup de force des pays industrialisés, tout cela entraîne beaucoup de tensions", indiquait mercredi matin l'ambassadeur de France pour le climat, Brice Lalonde

mardi 15 décembre 2009

Climat: texte commun France-Afrique avec objectifs chiffrés

La France et l'Afrique ont publié mardi un texte commun sur la conférence de Copenhague incluant des objectifs chiffrés sur la limitation à 2 degrés de la hausse de température et sur le financement, a annoncé Nicolas Sarkozy avec le Premier ministre éthiopien Meles Zenawi.

La France et l'Afrique ont publié mardi un texte commun sur la conférence de Copenhague incluant des objectifs chiffrés sur la limitation à 2 degrés de la hausse de température et sur le financement, a annoncé Nicolas Sarkozy avec le Premier ministre éthiopien Meles Zenawi.
Selon eux, l'accord de Copenhague "sera applicable immédiatement".
"Nous allons vous donner un texte commun. Avec le coordonnateur de l'Afrique sur toutes les questions de Copenhague, nous sommes d'accord sur les chiffres de réduction, l'objectif d'obtenir que l'augmentation de la température ne soit pas supérieure aux 2 degrés" (par rapport à l'ère pré-industrielle), a déclaré M. Sarkozy à l'issue d'un déjeuner à l'Elysée avec M. Zenawi.
"Nous sommes d'accords sur le fast start, les 10 milliards de dollars" par an pour aider les pays émergents, a-t-il poursuivi.
"Un tel enjeu pour la planète est tellement important qu'une alliance entre l'Afrique et l'Europe est absolument cruciale, c'est le discours que je vais tenir avec M. Obama", a ajouté le chef de l'Etat français.
Nicolas Sarkozy a également annoncé qu'une conférence téléphonique était prévue mardi après-midi entre lui et le président américain Barack Obama, la chancelière allemande Angela Merkel et le Premier ministre britannique Gordon Brown pour faire le point des négociations de Copenhague.
Dans leur "appel commun pour un "accord ambitieux à Copenhague", le chef de l'Etat et le Premier ministre éthiopien, porte-parole des 51 pays africains pour les discussions sur le réchauffement climatique, demandent "une réduction de 50% des émissions globales de CO2 par rapport à 1990".
Ce chiffre est conforme à ce que recommande le Groupe intergouvernemental d'étude climatique (GIEC), ce qui avait été accepté par les pays industrialisés, réunis à L'Aquila (Italie) en juillet dernier.
Ils demandent également l'adoption d'un fonds "fast start", doté de 10 milliards de dollars par an, pour 2010, 2011 et 2012, afin de "financer les actions d'adaptation et d'atténuation, y compris la lutte contre la déforestation, principalement dans les pays pauvres et vulnérables".
Lors d'une rencontre au sommet du Commonwealth à Trinidad, le 27 novembre, Nicolas Sarkozy et Gordon Brown étaient tombés d'accord sur ce chiffre "auquel les Etats-Unis doivent contribuer", a précisé M. Sarkozy. "Nous avons besoin que les Etats-Unis donnent leur accord au fast start. Le président Obama a parlé de ses liens avec l'Afrique, c'est l'occasion de le montrer", a-t-il ajouté.
A partir de 2013, "les financements disponibles devront être prévisibles et additionnels", c'est-à-dire qu'ils s'ajouteront à l'aide au développement, indique le texte de l'appel. Paris et Addis-Abeba appellent, en particulier, à "la création d'une taxe sur les transactions financières internationales".
Enfin, la France et l'Afrique appellent à "une réforme ambitieuse de la gouvernance mondiale". Selon MM. Sarkozy et Meles Zenawi, "la conférence de Copenhague offre une occasion historique de lancer un processus conduisant à la mise en place d'un organisation mondiale de l'Environnement".
"L'Europe et l'Afrique sont sur la même ligne politique", s'est félicité M. Sarkozy. A Copenhague, "on y va ensemble", a-t-il insisté. "Il n'y aura pas d'accord mondial qui n'inclut pas l'Afrique", a de son côté prévenu Meles Zenawi.
© 2009 AFP

jeudi 10 décembre 2009

le matin, le président a parlé lors de la Cérémonie du Prix Nobel de la Paix à l'Hôtel de Ville d'Oslo. Son discours de réception du prix a été digne


Bien sûr, nous savons que pour la plupart de l'histoire, ce concept de «guerre juste» a été rarement observées. La capacité des êtres humains de réfléchir à de nouvelles façons de tuer un de l'autre prouvé inépuisable, tout comme notre capacité à exonérer de la miséricorde de ceux qui ont un aspect différent ou de prier pour un Dieu différent. Les guerres entre armées a donné place à des guerres entre les nations - des guerres totales dans lesquelles la distinction entre combattants et civils est devenue floue. En l'espace de 30 ans, un tel carnage serait deux fois engloutir ce continent. Et bien qu'il soit difficile d'imaginer une cause plus juste que la défaite du Troisième Reich et les puissances de l'Axe, la Seconde Guerre mondiale fut un conflit dans lequel le nombre total de civils qui sont morts a dépassé le nombre de soldats qui ont péri. Dans le sillage de cette destruction, et avec l'avènement de l'ère nucléaire, il est apparu clairement au vainqueur et vaincus que le monde avait besoin d'institutions pour prévenir une autre guerre mondiale. Ainsi, un quart de siècle après le Sénat américain a rejeté la Société des Nations - une idée pour laquelle Woodrow Wilson a reçu ce prix - America conduit le monde à construire une architecture pour maintenir la paix: un plan Marshall et une Organisation des Nations Unies, mécanismes pour régir la conduite de la guerre, les traités de protection des droits de l'homme, de prévenir les génocides, de restreindre les armes les plus dangereuses. À bien des égards, ces efforts ont réussi. Oui, les guerres terribles ont eu lieu, et les atrocités commises. Mais il n'y a pas eu de troisième guerre mondiale. La guerre froide a pris fin avec une foule en liesse démanteler un mur. Commerce a cousu une grande partie du monde ensemble. Des milliards ont été levées à la pauvreté. Les idéaux de liberté et d'autodétermination, l'égalité et la primauté du droit ont avancé de façon hésitante. Nous sommes les héritiers du courage et de clairvoyance des générations passées, et il est un héritage pour lequel mon propre pays est légitimement fier. Et pourtant, dix ans dans un nouveau siècle, cette architecture ancienne est ploie sous le poids de nouvelles menaces. Le monde mai ne frémis à l'idée de guerre entre deux puissances nucléaires, mais la prolifération mai augmenter le risque de catastrophe. Le terrorisme a longtemps été une tactique, mais la technologie moderne permet à un petit peu d'hommes de rage hors normes d'assassiner des innocents sur une échelle horrible. En outre, les guerres entre les nations ont de plus en plus laissé la place à des guerres dans les nations. La résurgence de conflits ethniques ou sectaires, la croissance des mouvements sécessionnistes, d'insurrections, et des États défaillants - toutes ces choses ont de plus en plus les civils pris au piège dans un chaos sans fin. Dans les guerres d'aujourd'hui, beaucoup plus de civils que de soldats sont tués; les germes de futurs conflits sont semés, les économies sont brisées, les sociétés civiles déchirées, les réfugiés amassés, les enfants marqués à jamais. Je n'apporte pas avec moi aujourd'hui d'une solution définitive aux problèmes de la guerre. Ce que je sais, c'est que répondre à ces défis, il faudra la même vision, le travail acharné et la persévérance de ces hommes et de femmes qui ont agi avec tant de hardiesse il ya des décennies. Et elle nous obligera à penser de manière nouvelle sur les notions de guerre juste et les impératifs d'une paix juste.


la maison blanche

mercredi 9 décembre 2009

me Journée Nationalités «colorée célébré à Dire Dawa




4ème Journée Nationalités «colorée célébré à Dire Dawa8 décembre, l'Éthiopie Nations, nationalités et la Journée des peuples a été colorée célébrée pour la quatrième fois le mardi dans la ville de Dire Dawa, sous le thème "la tolérance de l'unité démocratique et le développement". L'événement a été organisé conjointement par les cinq régions voisines dans l'Est de l'Ethiopie à savoir Dire Dawa, Harari, Somali, Afar et Orormia. S'exprimant à l'ouverture de l'événement, administrateur en chef de l'Etat d'Oromia et président du Forum conjoint des organisateurs, Abadula Gemeda déclaré Journée nationalités de cette année est particulière en ce qu'elle est célébrée à un moment où éthiopienne nations et nationalités ont intensifié leurs efforts de développement et sont fixés pour lutter efficacement Grand agendas nationaux devant eux. Il a dit que la célébration de la Journée des nationalités dans la ville de Dire Dawa, devrait consolider encore la culture de la co-existence pacifique des régions voisines sont connus pour. Le maire de la ville de Dire Dawa, Adem Farah pour sa part déclaré la célébration de la Journée des nationalités »a beaucoup contribué au développement national et la croissance rapide. De hauts responsables du gouvernement éthiopien, les délégués de divers pays africains, des ambassadeurs et invités ont assisté à la célébration

dimanche 6 décembre 2009

C'EST TRES BIEN Obama sera à Copenhague le 18 décembre

Barack Obama avait en premier lieu annoncé qu'il serait présent à Copenhague le 9 décembre, sur le chemin d'Oslo où il doit aller chercher son prix Nobel de la paix. La Maison-Blanche vient finalement d'inscrire le 18 décembre à l'agenda du président américain. En effet c'est le 17 et le 18 décembre que se réuniront les chef d'Etat à Copenhague. L'impasse de Barack Obama sur cette date fatidique avait suscité de vives critiques sur la scène internationale. Le porte parole de la Maison-Blanche explique ce revirement: "Le président estime que le rôle d'entraînement des Etats-Unis sera sans doute plus efficace s'il participe à la fin du sommet de Copenhague le 18 décembre plutôt que le 9 décembre. Cette décision illustre son engagement à tout faire pour aboutir à un résultat positif." L'annonce américaine ravit les plus septiques, même si l'issue du sommet est encore incertain.