mercredi 28 octobre 2009

Conférence générale de l’UNESCO : Irina Bokova prend la relève


La 35e session de la Conférence générale de l’UNESCO qui s’est achevée aujourd’hui a été marquée par l’élection d’Irina Bokova comme Directrice générale de l’Organisation et l’adoption du nouveau programme et budget (2010-2011). Deux tables rondes ministérielles, consacrées respectivement à l’éducation et aux océans, un Forum ministériel et le lancement du Rapport mondial Investir dans la diversité culturelle et le dialogue interculturel, ont également été organisées au cours de cette session.
Organe suprême de l’UNESCO, la Conférence générale réunit tous les deux ans les représentants des 193 Etats membres. Plus de 3 000 participants - dont 8 chefs d’Etat et de gouvernement, et près de 260 ministres ou vice ministres - ont assisté à cette session qui s’est tenue au siège de l’Organisation du 6 au 23 octobre et qui a été présidée par Davidson Hepburn (Bahamas). A l’ouverture de la Conférence, Koïchiro Matsuura, Directeur général dont le mandat s’achève le 14 novembre, est revenu sur ses dix années passées à la tête de l’UNESCO et sur la politique de réforme mise en oeuvre durant cette période: « En mobilisant une masse critique de compétences et de ressources à l’appui de quelques programmes prioritaires, l’UNESCO a renforcé à la fois son impact et sa crédibilité. Aujourd’hui, le monde sait ce que l’UNESCO défend. Notre voix est entendue, et elle est écoutée ». Le 22 octobre, en présence du Président sénégalais, Abdoulaye Wade, la Conférence générale a rendu un hommage solennel à Koïchiro Matsuura, louant notamment « les efforts énergiques qu’il a faits pour moderniser l’UNESCO en dépit de sévères contraintes budgétaires ». Dans son discours de clôture, le Directeur général a souligné que la Conférence générale avait été « placée sous le double signe de la consolidation et de l’ouverture aux enjeux de l’avenir » et qu’elle s’était imposée comme une « véritable instance de réflexion et d’échange ». Le 15 octobre, la Conférence a élu Irina Bokova (Bulgarie) Directrice générale de l’Organisation en remplacement de Koïchiro Matsuura. Son nom avait été proposé par le Conseil exécutif le 22 septembre dernier. Elle est la première femme et la première représentante d’Europe de l’Est à accéder à cette fonction. Lors de son installation, le 23 octobre, Irina Bokova s’en est dit très fière et elle a ajouté : « Mon accession à cette haute fonction est un message de confiance pour toutes les femmes du monde. C’est le signal qu’elles doivent avoir accès au savoir et au pouvoir, afin d’apporter leur contribution à la société, et de prendre part à la marche du monde ». Elle a précisé qu’elle entendait répandre le message qu’aucun développement n’était possible sans une action décidée en faveur de l’égalité entre les sexes. Irina Bokova a également déclaré : « Est, Ouest, Nord, Sud : je vais m’employer à édifier d’innombrables passages entre ces parties du monde, désormais toutes inscrites dans la mondialisation. Cette mondialisation face à laquelle nous devons rester vigilants, car si elle émancipe, si elle a aidé des millions de personnes à sortir de la pauvreté et de la misère, elle porte aussi en elle le danger d’uniformiser notre monde de diversités ». La Directrice générale élue est revenue sur le nouvel humanisme qu’elle entend défendre : « La diversité culturelle et le dialogue entre les cultures participent à l’émergence d’un nouvel humanisme où le global et le local se réconcilient, et à travers lequel nous réapprenons à construire le monde. […] Pour moi, l’humanisme est une aspiration à la paix, à la démocratie, à la justice et aux droits de l’homme. Pour moi, l’humanisme est une aspiration à la tolérance, au savoir et à la diversité des cultures. Il s’enracine dans l’éthique et dans la responsabilité sociale et économique. Il s’incarne dans l’assistance aux plus vulnérables. Il est au cœur de l’engagement dans la lutte contre les grands défis communs, notamment le respect de l’environnement ». Elle a remercié Koïchiro Matsuura d’avoir par ses réformes mis l’UNESCO « sur le bon chemin » et elle a annoncé qu’elle poursuivrait son action. Lors de cette 35e session, les Iles Féroé ont rejoint l’UNESCO en tant que membre associé. Ce qui porte à 200 (193 Etats membres et 7 membres associés) le nombre total de membres de l’UNESCO. Conformément au rôle qui lui est dévolu par l’Acte constitutif de l’Organisation, à savoir « déterminer l’orientation et la ligne de conduite générale de l’UNESCO », la Conférence générale a passé en revue l’ensemble des Programmes de l’Organisation, révisé la Stratégie à moyen terme (2008-2013) et adopté le programme et budget pour 2010-2011. Pour ce biennum à venir, la Conférence générale a adopté le scénario proposé par le Directeur général, à savoir un budget de 653 millions de dollars (en augmentation de 3,5% en valeur nominale). Avec 118,5 millions de dollars, l’éducation reste la première des priorités. Parmi les nombreuses décisions de la session, on relèvera en matière d’éducation l’accent mis sur l’alphabétisation, les enseignants et le développement des compétences pour le monde du travail. Des fonds supplémentaires ont été prévus pour la vingtaine de pays, notamment africains, qui sont les plus éloignés des objectifs de l’Education pour tous, et des centres consacrés à l’éducation vont voir le jour en Asie. Dans les domaines des sciences (59 millions de dollars), la Conférence générale a souhaité conforter le travail de la Commission océanographique intergouvernementale (COI), responsable du système mondial d’alerte aux tsunamis, et celui du Programme sur l’homme et la biosphère (MAB). Elle a aussi décidé la création de plusieurs centres traitant de l’eau, de formation à la bio-informatique et de technologies spatiales au service du patrimoine culturel et naturel. S’agissant des sciences sociales et humaines (Près de 30 millions de dollars), la Conférence a demandé l’élaboration d’un rapport sur l’opportunité d’établir un projet de déclaration de principes éthiques en rapport avec le changement climatique. Elle a également approuvé la création au Cap-Vert de l’Institut d’Afrique de l’Ouest pour la recherche internationale sur l’intégration régionale et les transformations sociales. Dans le domaine de la culture (53 millions de dollars), la Conférence a fixé deux priorités : la sauvegarde et la gestion du patrimoine matériel et immatériel, la promotion de la diversité des expressions culturelles, des langues, du multilinguisme et du dialogue des cultures. Elle a notamment demandé aux Etats membres de participer en 2010 aux célébrations de l’Année internationale du rapprochement des cultures (2010). La création de plusieurs centres placés sous l’égide de l’UNESCO et consacrés au patrimoine a également été décidée. En ce qui concerne la communication et l’information (33 millions de dollars), la Conférence générale a demandé la poursuite des activités en faveur de la liberté de la presse et réitéré son soutien au Programme international pour le développement de la communication (PIDC) et au Registre de la Mémoire du monde Huit chefs d’Etat ou de gouvernement, ainsi que la Cheikha Mozah Bint Nasser Al Missned, Présidente de la Fondation du Qatar pour l’éducation, la science et le développement et Envoyée spéciale de l’UNESCO pour l’éducation de base et l’enseignement supérieur, ont participé à cette Conférence générale. Il s’agit de Najib Razak, Premier Ministre de Malaisie, de Filip Vujanovic, Président du Monténégro, d’Abdullah Gül, Président de la République de Turquie, de James A. Michel, Président des Seychelles, du Cheikh Khalifa Bin Salman Al-Khalifa, Premier Ministre du Bahreïn, du Cheikh Amani Abeid Karume, président de Zanzibar (République-Unie de Tanzanie), d’Ismaël Omar Guelleh, Président de Djibouti, et d’Abdoulaye Wade, Président du Sénégal. De plus, Michaëlle Jean, Gouverneure générale du Canada, s’est adressée le 5 octobre au Conseil exécutif réuni en séance spéciale et elle a inaugurée l’exposition intersectorielle « Cultures et développements » qui s’est tenue à l’UNESCO pendant toute la durée de la Conférence générale. En clôturant la Conférence générale, son Président Davidson Hepburn a souligné que le moment de l’action était venu. Il a exprimé sa foi dans l’avenir de l’UNESCO, ainsi que dans la détermination et la compétence d’Irina Bokova. Mais il a précisé : «Nous devons comprendre que pour toutes nos tâches, nous avons besoin de partenaires. L’UNESCO ne peut pas faire seule tout ce qu’elle a à faire ».
-->
Auteur(s):UNESCOPRESSE
Source:Communiqué de presse N°2009 –132
23-10-2009

Dire Dawa remporte le «Best Project Award" lors de la Journée des villes »

Dire Dawa remporte le «Best Project Award" lors de la Journée des villes » L'Ethiopien Journée des villes »a été décidé qui sera célébrée le 23 Octobre chaque année en vue de promouvoir largement les programmes de développement urbain et le renforcement de leur application. La célébration de la journée permettrait de partager les meilleures pratiques et créer une concurrence constructive entre les villes. Cette année, la Journée éthiopienne des villes »a été célébrée à travers divers événements 22-26 Octobre 2009. Expositions et colloques ont été organisés dans le cadre de la journée. Un consensus a été atteint notamment entre les universités et autres établissements d'enseignement qui sont basés dans les villes sur les moyens de soutenir le développement urbain. Quelque 19 villes a créé un forum de coopération commune. "Best Project Award» a également été organisée pour les villes. Dire Dawa, la ville se fait d'abord à son projet de couche de béton tandis que Hawassa Bishoftu et s'est classé deuxième et troisième pour la gestion des déchets secs et des projets de l'entreprenariat féminin respectivement. Il a été indiqué que tous les projets qui ont été nominé pour le "Best Project Award» sera élargir à d'autres domaines. S'exprimant à la clôture de l'événement d'une semaine, le travail et le ministre du Développement urbain, M. Kassu Illala indiqué que l'événement a présenté des morceaux préliminaire mais importante du travail. L'an prochain, la Fête des villes éthiopiennes »sera célébrée dans la ville de Hawassa.

jeudi 22 octobre 2009

L'Ethiopie demande une aide pour 6,2 millions d'habitants



ADDIS ABEBA - L'Ethiopie demande une aide d'urgence pour nourrir 6,2 millions de personnes, 25 ans après la grande famine qui a fait un million de morts dans le pays.
Cinq ans de sécheresse rendent aujourd'hui la situation dramatique pour plus de 23 millions d'habitants dans sept pays d'Afrique orientale, selon les organisations humanitaires.
Soulignant que les pluies cette année ont été particulièrement faibles, le ministre éthiopien de l'Agriculture et du Développement rural, Mitiku Kassa, a demandé 159.410 tonnes de vivres, d'une valeur de 80 millions d'euros, 11 tonnes de nourriture pour enfants et 30 millions d'euros pour des besoins non alimentaires.
Fidelle Sarassaro, coordinateur de l'Onu pour l'aide humanitaire, a de son côté exhorté le gouvernement éthiopien à assurer un libre accès aux travailleurs humanitaires vers l'est de la Somalie, déchirée par la guerre.
L'ONG Oxfam a quant à elle appelé jeudi à mettre fin aux réactions automatiques face aux crises alimentaires. Si l'envoi de vivres sauve des vies, il ne règle rien à long terme et les communautés exposées aux risques de sécheresse devraient être prémunies en amont, estime l'organisation.
Tsegaye Tadesse, version française Jean-Stéphane Brosse

mercredi 14 octobre 2009

La crise économique dévaste la "planète faim"

14 octobre 2009, Rome - La forte recrudescence de la faim déclenchée par la récession économique mondiale accable les populations les plus pauvres des pays en développement, dévoilant la fragilité du système alimentaire mondial qui nécessite une réforme urgente, indiquent la FAO et le Programme alimentaire mondial (PAM).La conjugaison des crises alimentaires et économiques a fait grimper le nombre de personnes affamées à des niveaux sans précédent: plus d'un milliard d'êtres humains sont sous-alimentés, selon les estimations de la FAO. La quasi-totalité de ces individus vit dans les pays en développement. En Asie et dans le Pacifique, leur nombre est estimé à 642 millions; en Afrique subsaharienne, à 265 millions; en Amérique latine et aux Caraïbes, à 53 millions; au Proche-Orient et en Afrique du Nord, à 42 millions; et dans les pays développés, à 15 millions, selon le rapport annuel de la FAO sur la faim, L'Etat de l'insécurité alimentaire dans le monde, préparé cette année en collaboration avec le PAM.Ce rapport paraît à l'occasion de la Journée mondiale de l'alimentation qui sera célébrée le 16 octobre 2009 au siège de la FAO, à Rome, ainsi que dans le monde entier. Une tendance qui se confirmeAvant l'apparition des crises récentes, le nombre de personnes sous-alimentées accusait déjà une montée lente mais régulière au cours de la dernière décennie, indique le rapport.Des progrès appréciables avaient été accomplis dans les années 80 et au début des années 90 en matière de réduction de la faim chronique, essentiellement grâce à l'accroissement des investissements dans l'agriculture qui avait succédé à la crise alimentaire mondiale du début des années 70.Mais entre 1995-97 et 2004-06, à mesure que l'aide publique au développement (APD) consacrée à l'agriculture perdait du terrain, le nombre d'affamés s'est amplifié dans toutes les régions, à l'exception de l'Amérique latine et des Caraïbes. Mais les progrès réalisés dans cette dernière partie du monde ont été par la suite annulés sous l'effet des crises alimentaires et économiques.La hausse du nombre de victimes de la faim, à la fois durant les périodes de prix faibles et de prospérité économique et durant les périodes d'envolée des prix et de récession économique, montre la faiblesse du système mondial de gouvernance de la sécurité alimentaire, souligne la FAO."Les dirigeants mondiaux ont réagi avec détermination à la crise économique et financière. Ils sont parvenus à débloquer des milliards de dollars en une courte période de temps. Il faut lancer immédiatement des mesures énergiques du même ordre pour combattre la faim et la pauvreté", insiste M. Jacques Diouf, Directeur général de la FAO."Le nombre croissant de personnes affamées est intolérable. Nous disposons des moyens économiques et techniques pour mettre un terme à la faim, ce qui fait défaut c'est une volonté politique plus forte pour se débarrasser de la faim à jamais."Il est fondamental d'investir dans l'agriculture des pays en développement, car un secteur agricole en bonne santé est une condition essentielle non seulement pour surmonter la faim et la pauvreté, mais aussi pour assurer la croissance économique, la paix et la stabilité dans le monde", ajoute M. Diouf."Nous nous réjouissons de ce nouvel engagement en faveur de la sécurité alimentaire, mais nous devons agir vite. Il est inacceptable qu'en ce XXIe siècle près d'un individu sur six de la population mondiale soit victime de la faim", déclare de son côté Mme Josette Sheeran, Directrice exécutive du PAM."A l'heure où le monde compte plus d'affamés que jamais auparavant, l'aide alimentaire a chuté a des niveaux historiquement bas. Nous savons ce qui est requis pour combler les besoins urgents des affamés et nous n'avons besoin que des ressources et d'un engagement international pour faire le travail", ajoute Mme Sheeran.Un autre coup dur pour les ménages pauvresL'association de divers facteurs a rendu la crise actuelle particulièrement dévastatrice pour les ménages pauvres des pays en développement.En premier lieu, la crise touche simultanément de vastes régions du monde, réduisant l'envergure des mécanismes habituels d'adaptation, comme la dévaluation, les emprunts, le recours accru à l'aide publique au développement, ou les envois de fonds par les migrants.Deuxièmement, la crise économique exacerbe la crise alimentaire qui a déjà pesé lourdement sur les stratégies d'adaptation des populations pauvres, frappant les plus vulnérables en les empêchant de se relever.Confrontées à la flambée des prix alimentaires, à la baisse des revenus et des emplois et ayant déjà vendu leurs actifs, réduit leur consommation d'aliments et leurs dépenses de biens essentiels, tels que soins de santé et éducation, ces familles risquent de s'enliser davantage dans la misère et le cercle vicieux de la faim et de la pauvreté.L'heure est à l'actionLe troisième facteur qui différencie cette crise de celles des années passées est la meilleure intégration, à la fois financière et commerciale, des pays en développement, par rapport à il y a 20 ans, dans l'économie mondiale, ce qui les rend plus vulnérables aux changements intervenant sur les marchés internationaux. De nombreux pays ont accusé une chute de leurs échanges commerciaux et de leurs flux financiers dans tous les domaines, et assisté au recul de leurs recettes d'exportation, de leurs investissements étrangers, de l'aide au développement et des envois de fonds. Autant de facteurs qui non seulement restreignent les possibilités d'emploi, mais également les fonds disponibles pour les gouvernements en faveur de programmes de promotion de la croissance et d'aide aux personnes vulnérables.Les 17 économies principales d'Amérique latine, par exemple, ont reçu 184 milliards de dollars de flux financiers en 2007. Ces capitaux ont été quasiment divisés par deux en 2008 (89 milliards) et devraient être à nouveau réduits de moitié et chuter à 43 milliards en 2009, déplore le rapport. Cela signifie que la consommation doit être réduite, et pour certains pays à faible revenu et à déficit vivrier, l'ajustement de la consommation pourrait se traduire par une réduction drastique des importations vivrières et autres biens d'importation, tels que matériel sanitaire et produits pharmaceutiques.Le rapport comporte des études de cas compilées par le PAM dans cinq pays - Arménie, Bangladesh, Ghana, Nicaragua et Zambie - illustrant la situation critique des ménages face à la baisse des envois de fonds de l'étranger et autres impacts de la récession, et les mesures adoptées par les gouvernements en réponse à la crise - investissements dans l'agriculture et les infrastructures et mise en place de filets de sécurité. Ces interventions permettront de sauver des vies humaines et des familles, indique le rapport, mais compte tenu de la gravité de la crise, il reste encore beaucoup à accomplir.La FAO et le PAM continuent à préconiser une approche de solution durable sur deux fronts pour affronter à la fois la crise aiguë de la faim à court terme, attisée par les pénuries alimentaires et la faim chronique à plus long terme, symptôme de pauvreté extrême. "Les petits agriculteurs ont besoin d'un accès aux semences de qualité, aux engrais, au fourrage et aux technologies pour leur permettre de doper la productivité et la production", souligne le Directeur général de la FAO. "Et leurs gouvernements nécessitent des outils économiques et politiques pour accroître la productivité et la résilience de leur secteur agricole face aux crises.". L'état de l'insécurité alimentaire dans le monde 2009 est disponible sur www.fao.org/docrep/012/i0876f/i0876f00.htm. La FAO a également publié un nouveau site Internet sur la faim dans le monde qui comprend des cartes interactives montrant les pourcentages de la population mondiale souffrant de la faim au cours des dernières décennies et offrant des donnés spécifiques par pays:
www.fao.org/hunger/page-daccueil-de-la-faim/fr/

-->

<- retour:

dimanche 11 octobre 2009

La France soutient la position africaine sur les changements climatiques


La France soutient la position africaine sur les changements climatiques Un ministre français en visite affirme que la France apportera tout son soutien position de l'Afrique au cours de la prochaine conférence internationale sur le changement climatique qui aura lieu en Décembre 2009 à Copenhague, Danemark. S'entretenir avec le Premier ministre Meles Zenawi au bureau du premier ministre le vendredi, de l'écologie française, de l'énergie, les technologies vertes, et ministre du Développement durable, Jean-Louis Borloo a déclaré que son pays est prêt à soutenir la position africaine sur les négociations sur le changement climatique à tenu à Copenhague, Danemark. Jean-Louis Borloo a déclaré aux journalistes après la discussion qu'il est convaincu Afrique mérite en effet des résultats tangibles de négociations sur le climat à venir le changement. Par conséquent, le ministre a dit, la France fera tout son possible pour soutenir la position du continent africain à inverser les effets néfastes du réchauffement climatique. Position de l'Afrique, qui doit être présenté par le Premier ministre Meles Zenawi, les demandes de réduction systématique des émissions de carbone, les assistances au renforcement des capacités et transfert de technologie pour supporter le réchauffement climatique, et des compensations pour les effets néfastes de la crise. Pendant ce temps, les deux parties ont tenu des discussions fructueuses même jour que la façon de renforcer davantage les relations existantes Ethio bilatéral, la France, selon un haut fonctionnaire du gouvernement qui ont assisté à la discussion.

vendredi 9 octobre 2009

Barack Obama prix Nobel de la paix


Le prix Nobel de la paix 2009 a été attribué au président américain Barack Obama "pour ses efforts extraordinaires en faveur du renforcement de la diplomatie et de la coopération internationales entre les peuples", annonce le jury du prix à Oslo.

lundi 5 octobre 2009

Le prix Nobel décerné à trois Américains


Le prix Nobel de Médecine 2009 a été attribué à l'Australo-américaine Elizabeth Blackburn et aux Américains Carol Greider et Jack Szostak pour leurs travaux sur l'enzyme télomérase qui protège les cellules du vieillissement, a annoncé lundi à Stockholm le comité Nobel.Ils ont reçu le prix pour leurs travaux sur cette enzyme qui "protège les chromosomes du vieillissement", a indiqué le comité dans son communiqué."Cette année le prix Nobel de Physiologie ou de Médecine est attribué aux trois scientifiques qui ont trouvé la solution à un problème majeur en biologie: comment les chromosomes peuvent être entièrement copiés durant la division cellulaire et comment ils sont protégés contre la dégradation", selon le communiqué."Les lauréats du Nobel ont montré que la solution se trouvait dans les terminaisons des chromosomes, les télomères, et dans une enzyme qui les forme, la télomérase", ajoute le comité.Cette enzyme pourrait être la clé de la jeunesse éternelle car elle est impliquée dans le vieillissement cellulaire. Elle joue également un rôle déterminant dans la cancérisation des cellules."Les découvertes de Blackburn, Greider et Szostak ont ajouté une nouvelle dimension à notre compréhension des cellules et éclairé les mécanismes de la maladie et stimulé le développement de nouvelles thérapies possibles", conclut le communiqué.L'année dernière, le prix avait récompensé l'Allemand Harald zur Hausen et les Français Françoise Barré-Sinoussi et Luc Montagnier pour leurs travaux séparés sur les virus responsables du cancer du col de l'utérus et le sida.L'annonce du prix de Médecine sera suivie les prochains jours par ceux de Physique, Chimie, Littérature, Paix puis Economie qui cloturera la saison le lundi 12 octobre.Dans chaque catégorie, le prix Nobel est accompagné d'une récompense de 10 millions de couronnes suédoises (980.000 euros) éventuellement à partager entre un maximum de trois lauréats.La remise des prix doit avoir lieu comme chaque année le 10 décembre à Stockholm (Médecine, Physique, Chimie, Littérature, Economie) et à Oslo (Paix).
-

jeudi 1 octobre 2009

Éthiopie dévoile plus ancien squelette


Éthiopie dévoile plus ancien squelette des hominidés Les scientifiques travaillant dans le rift Afar, en Ethiopie, a annoncé jeudi de nouveaux résultats d'une enquête de 17 années sur les 4,4 millions d'années, ancien hominidé Ardipithecus ramidus. Les résultats seront publiés dans le numéro du 2 Octobre spécial de la revue Science. Ces résultats ouvrent un nouveau chapitre sur l'évolution humaine par l'extension des connaissances dans une période mal connue auparavant, seuls quelques millions d'années après la vie humaine a divergé de celle conduisant à des chimpanzés. Les résultats révèlent la nature de l'ancêtre de l'homme qui était là avant les mieux connus "homme-singe" australopithèques, jusqu'à présent, les premiers hominidés plus complètement connu, grâce aux fossiles, comme le squelette partiel de "Lucy" découverte en Ethiopie en 1974. Les nouveaux fossiles révèlent les premières étapes de l'évolution que nos ancêtres nous ont prises après avoir divergent de notre ancêtre commun avec les chimpanzés. La découverte pièce maîtresse est de 4,4 million-year-old squelette partiel d'une femme surnommée "Ardi.» L'équipe récupéré d'importantes parties du squelette dont le crâne avec des dents, des bras, des mains, du bassin, des jambes et des pieds. Ceci est maintenant le plus tôt squelette connu du rameau humain de l'arbre généalogique des primates. Notre succursale constitue la famille zoologique "Hominidae;" "hominidés» comprennent l'Homo sapiens ainsi que des espèces plus proches des humains que pour les chimpanzés et les bonobos, nos plus proches parents vivants. Les découvertes de nouvelles idées sur la façon dont les hominidés aurait pu être produit à partir d'un singe ancestral.